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2 avril 2013

LE GUIDE DU ROUTARD / LONDRES

londres routard 2013

 

Des fourmis dans les jambes, envie d'aller voir si l'herbe est plus verte dans les parcs à côté, alors munissez vous de ce guide, prenez vos euros (vous changerez sur place c'est plus intéressant) et lancez vous à l'assault de la capitale anglaise.

Dépaysement assuré, ravissement certifié.

 

Pour les chambres booking.com, c'est ici que nous avons trouvé les meilleures offres, sinon les restaurants et les adresses citées dans le Routard étaient parfaites.

 

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6 décembre 2012

DU DOMAINE DES MURMURES de Carole Martinez

du domaine des murmures_

Pour commencer et exceptionnellement un petit mot :

Il m'a été très difficile de rédiger ce billet car si la passion et les mots pour raconter ce livre étaient bien présents, la rédaction était laborieuse.

Je n'aurais pas imaginé l'ampleur du travail que la "bonne tenue" d'un blog peut générer et je ne peux qu'admirer toutes celles et tous ceux qui s'attèlent sans relâchent à animer le leur. Le travail d'écriture n'est pas chose aisé et je ne peux qu'être humble désormais face à celles et ceux qui en produisent un et qui se voient édités. Peu importe que cela me plaise ou non, le travail est là et respecter le travail d'autrui est un minimum.

Je vous invite chaleureusement à vous rendre sur le blog d'Allie (en bas à droite) et à qui je dois - indirectement - d'avoir osé me lancer. C'est une belle personne qui gagne à être connue car c'est également une lectrice avisée et une excellente bibliothécaire.

Merci d'avoir pris le temps d'avoir lu ces quelques lignes.

Je vous souhaite une belle journée.

 

 

Qui est Carole Martinez ?

Née en 1966, Carole Martinez est une auteure française d’origine espagnole.

Tentée par le théâtre, elle monte sa troupe mais se tourne ensuite vers l’enseignement et devient professeur de français.

En 1998, premier roman nommé le « Cri du livre » réédité depuis sous le titre « l’Oeil du témoin ». Œuvre plus particulièrement dédiée à la jeunesse.

En 2007, s’inspirant des histoires traditionnelles que lui racontait sa grand-mère espagnole, elle rédige un livre « le Cœur cousu » qui connait lui apportera la notoriété.

Enfin en 2011, l’incontournable « du domaine des murmures » que je souhaite partager avec vous.

 

 

Mois de Mai de l’an de Grâce 1187, quelque part en Bourgogne sur les terres du Seigneur de Montfaucon, devant une assemblée médusée, Esclarmonde la belle, outrage le suzerain de son père lorsqu’elle refuse de s’unir à Lothaire de Montfaucon, fils benjamin du puissant seigneur et s’attirant également la ire paternelle.

Bien que très proche de son père et très attachée à lui, Esclarmonde n’a qu’un souhait, qu’un désir : se consacrer à Dieu « Mon père, pourtant, était doux pour moi parmi les gens de guerre. Il s’opposait juste obstinément à m’envoyer là où Dieu me réclamait. Il me refusait le couvent qui m’aurait arrachée à lui plus sûrement qu’un mariage » (p. 20).

Alors, elle l’affirme calmement et publiquement dans l’église : elle sera recluse. A 15 ans, elle force son destin tout tracé de femme « Béguines, mystiques, recluses volontaires parvenaient parfois à mener leur entourage et gagnaient une liberté autrefois inconcevable. Une autonomie à laquelle presqu’aucune femme de ma caste ne pouvait prétendre. Mais à quel prix ? » (p. 24). Elle destine le montant de sa dot à la construction d’une chapelle dédiée à sainte Agnès avec une cellule attenante munie d’une fenestrelle dotée de barreaux dans laquelle elle, Esclarmonde, sera emmurée.

Deux années seront nécessaires à la construction des bâtiments.

Le matin de sa mort au monde des vivants, Esclarmonde se lève l’aube pour profiter de son dernier lever de soleil et s’aventure au-delà des limites du château. Tout est calme, elle est seule du moins le croit-elle car soudain un homme aviné surgit, se précipite sur elle, la violente avant de disparaître.

Esclarmonde rentre péniblement dans sa chambre, se confie à sa suivante et amie et prend la décision de taire ce déshonneur « Aux yeux de tous, je resterais pucelle ! » (p. 39). « Le diable ne gagnerait rien à m’avoir ainsi profanée. » et entre au tombeau.

Alors qu’elle cherche la paix de l’esprit et la tranquillité de l’âme, Esclarmonde ne cesse d’être sollicitée par les pèlerins qui passent et cherchent conseil et réconfort auprès de celle qui acquiert une certaine renommée dans la région.

Quelques semaines sont nécessaires à Esclarmonde pour réaliser qu’elle porte un enfant. Ce bébé, elle le met au monde dans le plus grand secret. La naissance de son petit garçon, accroit encore davantage son aura céleste aux yeux des croyants qui y voient un signe de la grandeur divine pour des raisons que je ne souhaite pas dévoiler ici.

La maternité transforme Esclarmonde qui s’ouvre à l’amour et à l’émerveillement. Elle acquiert de la maturité, pense et agit différemment, avec d’autres objectifs. Son attitude métamorphose Lothaire, son ancien fiancé éconduit au pied de l’autel. Mais il en va de même pour les croyants qu’ils soient pauvres ou riches, hommes ou femmes. Elle est résolue à prendre des décisions, même douloureuses, même lourdes de conséquences. Et elle aussi loin qu’elle le pourra …. Mais l’histoire ne s’arrête pas ici et je ne veux rien vous dévoiler.

J’ai vraiment beaucoup aimé ce livre que, je l’avoue, j’ai lu sans doute avec impatience, avalant les mots et les phrases avec avidité tant j’étais captivée par les personnages. Je le reprendrai pour le lire avec plus de lenteur, de patience et le déguster en m’attardant sur les détails. La langue utilisée par Carole Martinez est tout simplement savoureuse.

C’est la première fois que je ressens un tel bonheur avec les mots : ces mots qui glissent et roulent comme des bonbons acidulés sur la langue et je m’en suis délectée, me plongeant avec encore plus de facilité dans le monde de cette jeune fille du moyen âge. Cette jeune fille justement est un personnage extrêmement intéressant car dès les premières pages, il m’est apparu qu’elle se rebellait contre sa condition de « matrice » et que bien que la religion ait été indéniablement un pilier dans la société moyenâgeuse, il n’en reste pas moins qu’Esclarmonde a bel et bien fait un choix tout à fait inhabituel pour une jeune fille de sa condition. Les descriptions fournies par l’auteure sur les mœurs et les pensées de l’époque me paraissent essentielles pour comprendre aussi bien l’héroïne que les personnages qui gravitent autour d’elle.

J’avais voici quelques années lu de Simone Bertière des ouvrages traitant des Reines à l’époque de Valois et à l’époque des Bourbons donc déjà bien plus loin dans la chronologie historique. Au fil des pages, j’avais découvert combien la place de ces femmes était difficile car précaire puisqu’elles n’existaient vraiment que lorsqu’elles avaient enfanté et surtout lorsqu’elles avaient mis au monde des enfants mâles. La religion était le principal soutien de ces dames qui n’avaient pas fréquemment d’ami(e)s, étaient loin de leur famille qu’elles ne revoyaient généralement jamais, entourées de personnes intrigantes voire réellement malveillantes.

 

Si le moyen-âge vous intéresse, un homme admirable sait formidablement bien le rendre abordable : Monsieur Jacques Le Goff.

Vous pouvez le retrouver d’une part sur France Culture il doit être encore possible de podcaster certaines de ces émissions.

9782020888097D'autre part dans une collection que j’affectionne tout particulièrement : Explique A chez Seuil Editions LE MOYEN AGE RACONTE AUX ENFANTS (ISBN 978-2020888097).

Cette collection n’est pas uniquement destinée aux enfants mais plutôt à la famille car il faut généralement accompagner la lecture ce qui est profitable à tous ….

QUE DU BONHEUR ***

26 novembre 2012

AMERICAN RIGOLOS de Bill Bryson

 

american rigolos

Auteur : Bill Bryson

 

Editeur : Petite Bibliothèque Payot / Voyageurs

 

ISBN : 978 2228 897 310

 

Pour commencer, une petite présentation de cet auteur que j'apprécie tout particulièrement :

Bill Bryson est un écrivain américain, né en 1951 né à Des Moines, capitale de l'Iowa.

Très jeune, il ressent l'envie de quitter l'Amérique pour découvrir l'Europe, c'est ainsi qu'il part à l'aventure en 1972 pendant quatre mois pour le « vieux continent » avec son ami de lycée, Stephen Katz, ainsi que l'année suivante mais seul cette fois.

Ces souvenirs lui serviront à écrire des récits de voyages une vingtaine d'années plus tard.

 

En 1977, il s'installe définitivement en Angleterre, se marie et fonde une famille. Il travaille d'abord comme journaliste puis entame sa carrière d'écrivain.

 

Vers la fin des années 1990, la famille part s'établir dans le New Hampshire.

 

Bill Bryson et les siens ont regagné l'Angleterre désormais.

 

Dans « American rigolos » Chroniques d'un grand pays dont le titre américain « I'm a Stranger Here Myself: Notes on Returning to America After Twenty Years Away » me parait plus significatif, Bill Bryson raconte son retour aux Etats Unis, lorsqu'il décide de quitter l'Angleterre pour s'établir avec femme et enfants dans le New Hampshire.

Si son épouse et ses enfants sont absolument sous le charme de l'Amérique, Bill lui est parfois totalement dépassé et a quelques difficultés à s'intégrer à son propre pays qu'il ne reconnaît plus.

Certes, ses concitoyens sont cordiaux, la vie semble facile, sa maison est confortable, les supermarchés regorgent autant du nécessaire que du superflu, l'Administration veille sur la santé du pays mais quiconque tente de déroger aux règles établies s'expose à de sérieux problèmes, on ne badine pas avec l'humour et manger correctement n'est pas une partie de plaisir ... tant qu'à la « culture » ....

B. Bryson dresse un constat tendre mais sans complaisance de la société américaine, au travers de situations qu'il a lui-même rencontrées et également d'articles de presse qui ont attirés son attention et les livre avec bonne humeur et sans méchanceté aucune.

Les situations décrites m'ont parues quelques fois totalement inimaginables tant elles paraissaient excessives ou décalées, certaines m'ont tout bonnement fait rire aux éclats, d'autres m'ont laissée dubitative car je retrouve par certains aspects notre propre société dans celle que dépeint Bryson.

 

Extraits :

  •  « Voici une statistique trouvée dans l'Abstract of the United States qui pourra vous intéresser : chaque année, 400 000 Américains sont victimes de blessures provoquées par des lits, matelas ou oreillers. Réfléchissez-y un instant : cela représente plus que la population de l'agglomération de Coventry, presque 2 000 accidents de lit, de matelas ou oreiller par jour. Le temps de lire cette chronique et quatre Américains auront été en quelques sorte agressés par leur literie ».

 

  • « Je vais vous raconter une anecdote que je vous demande de garder pour vous. Peu de temps après notre emménagement, nous avons invité à dîner nos voisins immédiats et -- je vous jure que c'est vrai -- ils sont venus en voiture ! Complètement abasourdi, je leur ai demandé en plaisantant s'ils prenaient l'avion pour aller faire leurs courses au supermarché, ce qui m'a valu en retour des regards vides -- et aussi d'être rayé définitivement de leurs listes d'invités. J'ai fini par comprendre que se mettre au volant pour parcourir une trentaine de mètres n'a rien d'insolite dans l'Amérique d'aujourd'hui : personne ne se rend plus à pied nulle part. »

 

  • « Nous traiterons aujourd'hui des commodités de la vie en Amérique et nous verrons comment, plus il y a d'agréments, plus il y a de désagréments.

    J'y réfléchissais pas plus tard que l'autre jour -- c'est fou ce que je réfléchis, quand on y réfléchit --, lorsque j'ai emmené les plus jeunes de nos enfants déjeuner dans un Burger King. Une douzaine de voitures environ faisaient la queue au drive-in. Il ne s'agit pas évidemment, de traverser le restaurant en roulant mais d'emprunter une allée conduisant à un guichet où on vous livrera ce que vous aurez commandé en chemin par un système d'interphone. Le but est de fournir un repas très rapide à des gens très pressés.

    On a garé la voiture, on est entrés, on a commandé et déjeuné, puis on est ressortis. Le tout en l'espace de dix minutes. En partant, j'ai remarqué qu'une camionnette blanche que j'avais repérée en arrivant se trouvait toujours dans la queue, à quatre ou cinq voitures du guichet. Il aurait été beaucoup plus rapide pour son conducteur de garer le véhicule, d'entrer et de commander son repas comme nous dans la salle. Mais il n'a pas raisonné comme nous, car le drive-in est censé être un moyen plus expéditif et plus pratique. Vous voyez ou je veux en venir. Les Américains sont tellement attachés à ce qui est « pratique » qu'ils supporteront n'importe quel inconvénient au nom de ce principe. »

 

J'ai passé un excellent moment de lecture avec cet ouvrage qui allie humour et culture.

 

 

 

 

 

22 novembre 2012

UN PEU DE LEGERETE ?

Quelle semaine ! Tout va à vau-l'eau dans la patrie de Molière et même le ciel fait grise mine. Voici quelques jours une radio faisait la promotion d'un livre en précisant qu'à la fin de la seconde guerre mondiale, on riait plus que maintenant. J'ai donc envie de partager avec vous quelques extraits tirés de plusieurs ouvrages, tous très différents et peut-être vous offrir ainsi quelques minutes de rire :

 

FOIRE AUX CANCRES_

Auteur : Jean-Charles (de son vrai nom Jean Louis Marcel Charles)

Editeur : Calmann-Levy (Edition de 1962)

Mon avis : J'aime ce livre tout simplement. Ce recueil de "bons mots" et autres copies d'élèves datant d'avant ma naissance me touche profondement par leur fraîcheur. L'enseignement restitué par ces enfants (qui furent peut-être nos parents) a certainement désespéré les professeurs mais procure un plaisir à la lecture qui enchante toutes les générations.

Lisez plutôt :

 

Morceaux choisis :

HISTOIRE :

Les Hébreux et le royaume d'Israël : le plus célèbre des Hébreux s'appelait Moïse, il vivait dans la première partie de la Bible. C'est lui qui reçut les catalogues sur le Mont Cenis.

Le vrai fondateur du royaume d'Israël est David qui tua le géant Colgate.

A cette époque, vivaient les Prophètes. C'étaient les habitants de la Prophétie, petit peuple très industrieux.

 

ZOOLOGIE :

Le Chat : le chat est un animal dont le corps est environné de poils ; il a quatte pattes, deux devant pour courir, deux derrière pour freiner. Il commence par une tête et se termine par une queue qui suit son corps. Elle s'arrête au bout d'un moment.

C'est un filin parce qu'il a des moustaches en forme de fil de fer.

Quand le chat a envie d'avoir des petits, il en fait, il devient alors une chatte. Il nourrit ses petits en halétant.

 

GEOGRAPHIE :

La mer est un des plus beaux éléments de la terre. On y trouve des groupes d'îles qui s'appellent des archiprêtres. On étudie le fond de la mer avec une sonde. Si celle-ci ramène de la vase c'est que le fond est vaseux ; si elle ramène de la boue, c'est que le fond est boueux ; si elle ne ramène rien c'est que la ficelle est trop courte.

 


SACHA GUITRYAuteur : Sacha Guitry

Editeur : Le cherche midi éditeur

ISBN : 2-86274-069-1

Mon avis : Peu d'hommes ont su "malmener" la femme avec autant de brio mélant à la fois tendresse et acidité. C'est un régal qui ne se démode pas. Ce comédien, auteur de théatre, romancier, cinéaste. Je raffole de ses boutades, j'admire son talent à pratiquer l'autodérision et à l'assumer. Une opinion ?

 

Morceaux choisis :

MON PORTRAIT :

Si ceux qui disent du mal de moi savaient exactement ce que je pense d'eux, ils en diraient bien davantage !

Ma vie de garçon a la vie dure - et c'est en vain que depuis quarante ans je l'enterre.

 

DES FEMMES EN GENERAL :

Quand on ment à une femme, on a l'impression qu'on se rembourse.

Une femme peut tout faire, elle peut penser, parler, chanter, se taire quelques fois.

 

DE CELLES QU'ON EPOUSE :

Faire des concessions ?
Oui, c'est un point de vue - mais sur un cimetière.

Quand on a vingt ans de plus qu'une femme, c'est elle qui vous épouse.

 


 

CECILE SLANKA

Auteur : Cécile Slanka

Editeur : Editions Liana Levi

ISBN : 978-2-86746-431-7

Mon avis : Mettre un terme à une histoire d'amour n'est pas aisé et le faire avec panache encore moins.

Ce petit recueil, écrit par une femme qui fait rompre aussi bien les hommes que les femmes m'a fait sourire souvent, rire parfois mais ne m'a jamais laissée insensible.

Savoureux.

 

 

Morceaux choisis :

LOURDE

Cher Armand,

Permettez que je vous débarrasse d'un poids qui semble chaque jour vous peser davantage : moi-même.

Sylvia                                                                                                                                                                                                                                                                                        

 

LOGIQUE

Jeanne

Quand on aime il faut partir.
Moi je ne t'aime plus mais ce n'est quand même pas une raison pour rester !
Adieu.
Serge.

19 novembre 2012

ENQUETE SUR L'EXISTENCE DES ANGES GARDIENS de Pierre Jovanovic

 

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Editeur en poche : J'ai lu - Aventure Secrète

 

Mon avis : Je dois vous avouer que j'ai été très surprise par le contenu de ce livre. Je m'attendais à quelque chose de léger, plutôt "angélique" (sans vouloir faire de mauvais esprit) et qui se lise facilement alors qu'en fait c'est vraiment dense. Laissons la religion ou plutôt les religions de côté pour aller à la rencontre de personnes ayant vécu des EMI (expérience de mort imminente), lire les témoignages recueillis par des médecins pour certains athées, effectivement savoir ce que sont les stigmatisé(e)s (les femmes n'ont pas le monopole et autres mystères. C'est à mon sens bien écrit, très intéressant, cela a le mérite de dépasser les religions et les dogmes.

 

 

 

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19 novembre 2012

LA SYBILLE DE LA REVOLUTION de Nicolas Bouchard

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Au 18eme siècle, la France baigne dans la Terreur. Pourtant le corps qui gît dans cet appartement parisien, disposé dans une posture rappelant les symboles maçonniques montre une telle sauvagerie que tous les hommes présents sont choqués. Tous sauf Vadier « Grand Inquisiteur » et son secrétaire du Comité de Sécurité, le citoyen Gabriel-Jérôme Sénart. Vadier missionne Sénart de retrouver l’auteur du crime et de se faire accompagner pour cela de Mademoiselle Lenormand célèbre cartomancienne et semble-t-il, familière des loges maçonniques. Les deux jeunes gens vont découvrir un aspect bien sombre de ces sociétés secrètes mais pas uniquement.

 

Editeur : 10/18 - Grands Détectives

Mon avis :J'ai beaucoup apprécié ce livre qui se lit très facilement. Les descriptions de cette France de la fin du XVIIIè siècle m'ont séduites ... j'aime vraiment ce retour en arrière. Je trouve cela intéressant de pouvoir comparer avec ce que nous vivons actuellement. Cela permet de constater combien les moeurs et les mentalités évoluent (préserver le patrimoine par exemple). Il y a un vrai travail de recherche de la part de l'auteur et j'ai passé un vrai bon moment en le lisant et eu envie de (re)plonger dans cette époque de l'histoire qui est très riche en France mais également en Angleterre.

 

 

 

 

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